La première journée s’est bien passée, je n’étais pas inquiet pour commencer ma deuxième journée préparatoire, même si j’avais une journée chargée au cabinet. Je me suis donc, dit que ça irait.
Le matin de ma deuxième journée préparatoire
J’ai eu un peu de mal à me lever après ma séance de sport de la nuit dernière. Je n’ai pas eu le temps de faire chauffer du riz, donc j’ai avalé une tomate et une pomme. J’ai pris mon temps pour bien mâcher et savourer chaque bouchée, car je savais que bientôt, je n’en aurais plus le droit.
Mes douleurs abdominales semblaient s’être estompées pendant la nuit.
La matinée a filé rapidement. Ce qui m’a le plus étonné, finalement, c’est d’arriver à être rassasié avec si peu de nourriture. En temps normal, il me faut beaucoup, beaucoup de quantité pour me sentir apaisé.
Les énergies de mon corps n’étant pas accaparées par la digestion, j’avais une meilleure énergie. Les rendez-vous se sont enchaînés sans trop de problèmes.
J’ai fait quelque chose que je fais rarement, c’est de boire une tisane pendant mes consultations. J’ai pris le temps de bien mâcher le breuvage pour qu’il arrive à la bonne température dans mon estomac. Rien que cela a fait disparaître les micro-faims assez vite.
L’après-midi
L’après-midi ayant un créneau de libre, j’en profita pour manger ma tomate avec un peu de sel. Même si ce n’est toujours pas de saison, j’en apprécia chaque bouchée.
Je n’eu pas envie de manger ma pomme. J’espérais juste que je n’allais pas tout gâcher en suivant pas chaque étape du jeûne indiqué dans le livre. J’aurais du manger un peu de riz ce midi aussi.
L’après-midi passa aussi vite que la matinée. Ce jour-là, j’ai finit. Il ne me reste plus qu’a ranger. Puis de rentrer manger.
En rentrant, je me fais à manger. Endive, tomate, riz, un peu de compote. J’espérais aussi, ne pas trop manger pour mettre un péril mon jeûne. J’étais bien rassasié.
Dans la soirée, une nouvelle crise de diarrhée me pris, mais moins intense que la veille, avec moins de douleur au ventre.
Je n’ai rien d’autre à ajouter sur cette partie, si ce n’est que je participais en tant que masseur au salon « Vivre Autrement« . L’idée était d’être debout tout le week-end pour masser les visiteurs. Cela allait être un nouveau défi pour moi.